Vos besoins

Pour vous aider à définir vos besoins, voici quelques questions que vous devez d’abord vous poser :
– Préférez-vous avoir un SUV, un monospace, une citadine ou une berline ?
– Comptez-vous utiliser la voiture de manière régulière ou ponctuelle ?
– Avez-vous une autre voiture en votre possession ?
– Où avez-vous besoin de vous rendre si vous devez l’utiliser quotidiennement ? (cela permet de définir la consommation quotidienne de carburant)
– Avez-vous des enfants ou êtes-vous tout simplement en couple ?

Les réponses à toutes ces questions vous permettront de clarifier vos choix En effet, vous devez sachez que pour une utilisation quotidienne, vous devez opter pour un modèle plus performant. Et si vous avez des enfants, il est préférable que vous tourniez vers un monospace ou un break. En revanche, si vous êtes célibataire ou en couple, rien ne vous empêche de choisir une voiture classique que vous pourrez conduire en toute facilité et dans laquelle vous vous sentirez vraiment à l’aise. Et enfin, si vous avez déjà une voiture, vous aurez besoin de définir l’usage que vous ferez de votre nouvelle voiture (voiture principale ou secondaire?).

Le kilométrage

Le kilométrage vous permet aussi de définir la consommation. En effet, celle-ci est un critère majeur lors du choix d’une voiture neuve. Si vous ne comptez faire que de petits trajets, vous n’aurez pas du mal à choisir le modèle à acheter. Par contre, si vous envisagez de rouler plus de 40 000 kilomètres par an, orientez votre choix vers des voitures plus économiques et faciles d’entretien si vous ne voulez pas faire grimper votre facture annuelle.

Le modèle

Voulez-vous acheter un modèle classique ou tendance, un modèle courant ou rare ? Sachez que cela influe sur votre budget. Certes, les modèles tendances et rares séduisent de par leur puissance et leur design, mais leur entretien vous coûtera certainement cher. D’autant plus que les pièces détachées sont parfois rares.

Les modèles du passé sont bien loin avec la nouvelle Renault Clio de la 4e génération. Esthétiquement, presque tout a été retravaillé pour avoir un look plus sportif, et le concept Dezir du constructeur en est pour quelque chose.

Une voiture faite pour le sport

Sur cette Renault Clio 4 RS, la partie avant est équipée de bouclier très design disposant de diffuseur et décoré d’un double échappement à l’arrière. Cette version RS se démarque également par ces belles jantes de 18 pouces et un bel aileron qu’on retrouve sur le hayon, ainsi qu’une grande nouveauté, le nombre de portes revues à 5 au lieu de 3 comme sur la précédente version. À l’intérieur, tout inspire l’esprit sportif du bolide. Inserts teintés de différentes couleurs sur le levier de vitesse, volant revu pour être sportif, le tableau de bord et même les sièges baquets, la sportivité de ce bel engin se retrouve partout. Mais on ne peut pas parler de version sportive sans voir sous le capot et là, la surprise est de taille parce que vous aurez un moteur de 1.6 turbo associé à une puissance de 220 chevaux qui peut se piloter avec le système Launch Control.

Une voiture très évoluée

Au lieu de persister sur la version moteur de 2.0 atmosphérique, Clio a misé sur une motorisation de 1.6 turbo sur cette nouvelle génération. Le tout, couplé avec une puissance de 220 ch qui vous permet d’atteindre les 6000 tours par minute. Sur cette version sportive, vous serez agréablement surpris par l’agressivité de la conduite avec une vitesse maximale de 230 km/h et une consommation minime de 6.3 l au 100 km. Sur route, sa conduite est assez ludique avec l’agréable sensation qu’on a avec le système RS Monitor optionnel sur lequel il est possible de passer du mode de conduite normal à sport et même, en option circuit. Cette nouvelle version de la Clio est certes, plus sportive en apparence, mais sur le point technique, elle doit encore s’améliorer pour atteindre le niveau de ses concurrentes. La technologie qu’elle embraque, par contre, assure une conduite agréable digne d’un pilotage de voiture de jeu vidéo.

Pourquoi faire appel à un mandataire en achat automobile ?

Les particuliers font souvent appel à un mandataire en achat auto dans le but de trouver une voiture qui répond à leurs besoins, leurs critères et leur budget notamment s’il s’agit d’un véhicule d’occasion. S’il s’agit d’un véhicule neuf, le mandataire a pour rôle de trouver le meilleur prix pour un modèle précis désiré par le client. Par ailleurs, le mandataire décharge à la fois son client et le vendeur des tâches complexes comme l’immatriculation de la nouvelle voiture, les démarches de légalisation d’un achat de voiture étrangère, ainsi que les négociations des prix à l’amiable entre les deux parties.

Le travail d’un mandataire pour trouver une voiture neuve pour son client

Un mandataire en achat automobile collabore avec plusieurs concessionnaires et distributeurs. Ainsi, lorsqu’un client désire acquérir une nouvelle voiture, il contacte tout simplement ses partenaires pour trouver le véhicule en question pour négocier son prix. Ensuite, il doit déterminer en fonction de l’endroit où se trouve le concessionnaire la date de livraison de la voiture et la commission. En général, le contrat et la transaction se réalisent directement entre le concessionnaire et le client.

Le travail d’un mandataire pour trouver une voiture d’occasion pour son client

Pour trouver une voiture d’occasion à prix rentable, certains mandataires prennent le temps d’aller dans d’autres pays, notamment dans les territoires européens où les prix sont habituellement attractifs. Et dans la plupart des cas, l’intermédiaire achète directement le véhicule pour ensuite le revendre au client. Néanmoins, il existe aussi des mandataires qui n’achètent pas les véhicules, mais qui conseillent seulement leur client et les aident à trouver le modèle qu’ils désirent à un prix avantageux. Ensuite, le mandataire s’occupe également des démarches administratives et techniques pour l’acquisition du véhicule par son client. Pour trouver une voiture d’occasion adaptée à son client, le mandataire collabore avec plusieurs professionnels du marché de l’automobile, notamment des concessionnaires, des garages et d’autres mandataires.

D’où proviennent les véhicules trouvés par les mandataires en achat automobile ?

Un mandataire en achat automobile peut acheter un véhicule à prix intéressant de différentes façons. Par exemple durant un déstockage des concessionnaires, lors d’une commande de modèle en importantes quantités réalisée par un concessionnaire partenaire ou en achetant dans d’autres pays comme dans l’Union européenne.

Les transformations extérieures

Pour la partie extérieure de la voiture, les possibilités de transformation sont nombreuses. Pour la carrosserie, vous pouvez opter pour le kit carrosserie, vendu dans tous les magasins de tuning. Vous pouvez aussi rajouter des éléments de décoration sur la carrosserie tels les stickers et les bandes chromées. La décoration est simple et moins chère mais vous offre la possibilité de modifier l’aspect extérieure de votre voiture de façon personnalisée. Trouvez également dans ces magasins diverses pièces adaptées à votre voiture, toujours pour modifier ou personnaliser son aspect extérieur : calandre, feux, rétroviseurs, jantes, pneus, spoiler, extension ailes, etc. Si vous manquez d’idée, inspirez-vous en ligne sur des sites spécialisés ou demandez conseil à des professionnels.

les transformations intérieures

Oui, il est possible de transformer certaines pièces mécaniques de la voiture afin d’augmenter sa performance. Les magasins spécialisés dans la vente de pièces de tuning proposent divers articles vous permettant de modifier les freins, la transmission, l’échappement, etc. En revanche, avant toute modification sur la mécanique, informez-vous sur la législation et les clauses de l’assurance relatives. Il convient de préciser qu’elles sont strictes en ce qui concerne les modifications mécaniques des véhicules.
Parmi les modifications intérieures que vous pouvez réaliser sur votre voiture, vous pouvez intervenir sur le volant, le pédalier, le tableau de bord, etc. Voici quelques pièces de tuning interessantes pour vous donner un aperçu : le pommeau de vitesse ovale, sphérique ou sous une autre forme, le pédalier conçu avec divers matériaux tels le chrome ou l’aluminium, le siège baquet qui se décline en de nombreuses matières et couleurs, etc.

Les promesses d’une voiture volante

Il faut reconnaître que la voiture volante présente un intérêt considérable pour tout le monde, si l’on ne mentionne que la possibilité de prendre des raccourcis sans passer par les routes. Un tel véhicule profitera à un grand nombre de services, dont le tourisme pour la découverte aérienne, la médecine par le biais de la livraison par voie aérienne qui sera beaucoup plus rapide, le transport par taxi aérien ou encore la surveillance depuis une voiture volante. Celle-ci intéressera sans doute les entrepreneurs qui ne veulent pas perdre leur temps dans les embouteillages ou dans une file d’attente à l’aéroport. C’est toute une exaltation qui tourne autour de cette grande nouvelle, mais à quand le premier vol en voiture ?

Le calendrier prévisionnel pour le lancement des voitures volantes

L’issu du salon international du Bourget donne un peu d’espoir, car il annonce la sortie (dès l’année 2020)de la première série de ce véhicule bulbeux doté d’ailes et donc de capacités de voler. C’est une équipe slovaque qui promet cette voiture transformable en avion pour 1,2 à 1,3 million d’euros. D’ailleurs, elle a déjà enregistré un nombre de réservations. Dans la même optique, la sortie la plus proche est le Liberty Pioneer PAL-V. La voiture volante PAL-V de Airbus est attendue pour l’année 2018. Sinon, Terrafuga, Aéromobile, Urban Aéronautics, Ehang et Lilium Aviation prévoient une sortie de voiture PAL-V en 2022. Une autre dizaine startups tente de mettre au point des prototypes plus élaborés d’ici 2035 pour les écouler aux États-Unis, en Europe, en Israël et au Japon.

Les contrôles sont vigilants en France

Trois constructeurs ont été visés par cette enquête menée par le parquet de Paris en France. Il s’agit de Volkswagen, de Renault et de Fiat Chrysler Automobiles. PSA vient s’ajouter à la liste suite à une enquête ouverte le 7 avril. La justice lui reproche de tromperie sur la qualité substantielle et les contrôles effectués. Trois juges d’instruction ont été mis sur le coup pour faire des investigations sur les équipements de PSA. Ils pensent que les diesels de PSA pourraient être équipés d’un dispositif pour truquer les tests d’homologation des moteurs. Les soupçons ont commencé en septembre 2015 avec les moteurs diesel Volkswagen. En octobre 2015, des experts indépendants ont été recommandés par le ministre de l’Environnement Ségolène Royal de tester des centaines de voitures vendues en France. Plusieurs d’entre elles ont affiché d’importants dépassements des seuils de pollution, un incident qui n’a pas été mentionné dans les tests d’homologation. Ces derniers sont alors bien évidemment truqués.

Qu’en est-il de PSA ?

PSA est jugé vertueux dans le monde automobile. Pourtant, de nombreux modèles diesel du groupe sont équipés d’un moteur qui ne suit pas les normes actuelles. Ils suivent encore les anciennes normes Euro 5. C’est flagrant et pourtant les dirigeants de PSA ripostent à l’accusation en soulignant qu’ils équipent tous les moteurs de leurs véhicules d’un système d’antipollution SCR. Ce qui mène le groupe à la première place en matière de faibles rejets de gaz à effets de serre. La moyenne générale des voitures particulières neuves en matière de rejets CO2 est de 118,2 grammes au kilomètre. Le taux de rejet est de 102,4 seulement pour PSA, contre 106,2 pour Toyota, 109,5 pour Renault, 119,7 pour Volkswagen, 120,3 pour Ford et 125,8 pour Mercedes.

Vente de véhicule pour pièces

Revendre votre voiture en panne pour ses pièces est la première idée qui vous vienne à l’esprit ? Oui, cela peut être une solution. Malheureusement, ce n’est pas forcément pratique et avantageux financièrement. D’abord, vous devez trouver des mécaniciens amateurs à la recherche de pièces détachées. Or, il n’est pas toujours facile de trouver ce type de preneur près de chez vous. Ensuite, pour faire du profit, vous devez avoir les talents d’un bon vendeur et savoir négocier pour tirer le meilleur prix possible. Enfin, la loi sur la revente de voiture pour pièces est très stricte. Il faut bien la respecter pour éviter des recours en justice. Si pour vous, ces démarches ne sont que des soucis en plus, cherchez une autre solution.

Céder la voiture à une entreprise spécialisée

Vous voulez vendre votre voiture en panne sans risques juridiques ? Vous voulez la céder au meilleur prix et sans vous soucier des paperasses administratives ? La meilleure des options est de vous tourner vers une entreprise spécialisée dans le rachat de voiture en panne. Cette dernière va effectuer pour vous toutes les démarches nécessaires à la reprise de votre véhicule. Elle va estimer gratuitement votre voiture, effectuer le contrôle technique et le remorquage du véhicule, remplir les formulaires de reprise de voiture et enfin réaliser la mise à jour de la situation administrative. Les démarches étant réalisées par des professionnels, les risques juridiques sont écartés. Le rachat est simple, facile, rapide et se fait au meilleur prix. Cette solution est donc de loin la plus rentable.

Dernier point : les professionnels exerçant dans ce secteur de reprise de voiture en panne étant nombreux, restez vigilant quant au choix de la société. Préférez une entreprise qui bénéficie d’une bonne réputation.

Une fusion historique

 
 
Si Fiat Chrysler et General Motors fusionnent, le marché de l’automobile américain changerait immédiatement de visage. Il s’agit en effet des deux leaders du marché avec Ford. D’ailleurs, ces trois opérateurs sont surnommés le Big Three aux États-Unis en raison de leur envergure. Le renouveau de l’industrie qui vient de réaliser des ventes record durant le premier semestre 2015 provient d’ailleurs de leur croissance combinée. Qui plus est, General Motors se positionne également au sommet du marché international et il collabore avec nombre de ses concurrents comme Honda et… Ford ! Cette fusion pourrait ainsi toucher le secteur de l’automobile sur bien des facettes et surtout elle aurait une répercussion au niveau international.
 
 

General Motors ne semble pas intéressé

 
 
Lors de la rencontre avec la presse, la dirigeante de General Motors a clairement indiqué qu’elle n’était pas intéressée par une fusion avec Fiat Chrysler. À l’heure actuelle, son groupe se porte suffisamment bien pour se passer d’un tel partenariat. Qui plus est, les principaux responsables de développement de General Motors ont déjà mis sur pied un plan d’action qui a porté ses fruits et qui n’a pas encore atteint son terme. Pour Fiat Chrysler, le dénouement de cette entreprise a ainsi un gout amer puisqu’il a fait chuter ses actions de 2,18 %.
 
 

Les bilans positifs de 2015

 
 
Durant le premier semestre 2015, le nombre de véhicules vendus aux États-Unis atteint la barre symbolique des 8,52 millions. Il s’agit du meilleur résultat de l’industrie depuis… 2005, soit 3 avant la crise financière. Les chiffres sont encore plus éloquents lorsqu’ils sont portés sur une année entière. Durant les 12 derniers mois, le marché affiche une hausse de 4,4 % à 17,16 millions d’unités vendues aux États-Unis. Il s’agit simplement d’un record sur une période de 10 ans.
 
 

 
 
Ce regain de vitesse s’explique notamment par la baisse du prix de l’essence aux États-Unis. Le gouvernement a également réussi à trouver un compromis avec les banques pour fixer le taux d’un crédit auto à 3 %. Grâce aux effets combinés de ces deux éléments, les ventes de « grosses voitures » ont significativement augmenté chez les concessionnaires.
 
 
 

Le Big Three à nouveau sur pieds

 
 
Bien entendu cette nouvelle dynamique du marché de l’automobile est principalement due au renouveau du Big Three. General Motors, Ford et Chrysler ont en effet retrouvé leur ancienne vitesse de croissance. À noter d’ailleurs que Chrysler a été rachetée par Fiat qui l’a rebaptisée Fiat Chrysler.
 
 

Le soutient de l’état

 
 
Cette hausse des ventes de véhicules électriques est la conséquence directe des nombreuses aides proposées par l’État pour soutenir cette industrie. Parmi ces dernières se trouve notamment le bonus à la casse qui s’élève à 3 700 euros. Pour en profiter, il suffit de dire adieu à son véhicule diesel âgé de 13 ans ou plus. À noter qu’il est accompagné d’un autre bonus qui peut être débloqué en achetant ou en louant un véhicule électrique. Ce deuxième bonus s’élève à 6 300 euros.
 
 

Grâce à ces coups de pouce du gouvernement, le nombre d’immatriculations de voitures et de camionnettes électriques au mois de juin a atteint la barre symbolique des 2 786 unités sur l’ensemble du territoire français. Certes, ce chiffre reste dérisoire par rapport à l’industrie en général de l’automobile, mais il témoigne d’une évolution du marché et du comportement des automobilistes.
 
 
 

D’autres chiffres intéressants

 
 
Sur le premier semestre de cette année 2015, les ventes de véhicules électriques ont affiché une hausse de 86,5 %. Comme dit précédemment, cette augmentation est due à la mise en place du super-bonus de 10 000 euros, divisé en deux tranches. Au niveau des modèles les plus populaires, la Renault Zoé se place largement en tête avec 1 482 unités vendues soit 63 % des ventes au premier semestre 2015.