Réalité sur la sécurité routière

  Le système de zéro risque est impossible. On peut seulement limiter les accidents. Un accident peut avoir de nombreuses causes, mais le chauffeur lui-même est le premier risque. En général, un accident est dû à un mauvais comportement derrière le volant ou une perte de contrôle de la voiture. De simples règles enfreintes peuvent devenir fatales : téléphoner au volant, conduire sous l’emprise d’alcool, pression de pneus non vérifiée, ceinture négligée, etc.

Les bases de la conduite sécurisée

Parmi les différents utilisateurs de la route, le conducteur est le premier responsable. Il doit avoir un comportement responsable en commençant par respecter rigoureusement le guide du code de la route. Un conducteur ne doit jamais surestimer ses capacités et doit prendre conscience du danger réel sur la route en anticipant. Il faut toujours mettre la ceinture de sécurité, éviter la consommation de drogues et d’alcool, réduire la vitesse dans les situations difficiles. Mais le plus important est le respect et la tolérance envers les autres utilisateurs de la route. Avec toutes ces règles et l’utilisation d’un véhicule en bon état technique, les risques d’accident seront considérablement réduits.

Les conduites conseillées en cas de trafic

Les risques d’accident sont multipliés en cas de trafic. La première chose à faire est de réduire la vitesse puisque rouler vite n’est jamais une bonne idée dans de telles circonstances. Le Code de la route est très important, mais il ne faut pas non plus se fier aux règles de priorités. Dans le trafic, on ne peut pas prévoir l’agissement des autres conducteurs. Enfin, il faut être toujours prêt à freiner lorsque la situation n’est pas claire.

Les fautes sanctionnées par une amende

Il y a des fautes classées graves et des fautes mineures. Même si certaines fautes n’engendrent pas une perte de point, il vaut mieux rester vigilant. Vous êtes toujours sanctionné par une amende fixe ou minorée. Ceci concerne entre autres la circulation dans une voie de bus, le refus d’acquittement du péage, les plaques d’immatriculation non visibles, absentes ou non réglementaires, le non-respect du feu orange, le stationnement gênant, l’usage abusif des pleins phares. N’oubliez cependant pas qu’une faute, aussi petite soit-elle, peut affecter la sécurité routière. C’est pour cette raison qu’il faut bien maîtriser le code de la route. Si ce n’est pas le cas, sachez que réviser le code de la route sur codeclic.com est gratuit. Mais attention, il ne suffit pas d’apprendre par cœur le code, mais de prendre conscience de son importance.

Les fautes sanctionnées par une perte de points

Le chevauchement de ligne continue et l’excès de vitesse de moins de 20 km/h font perdre 1 point. L’excès de vitesse entre 20 et 30 km/h fait perdre 2 points. Le téléphone au volant, le non-port de ceinture de sécurité, le dépassement dangereux, le non-respect des distances de sécurité, l’excès de vitesse entre 30 et 40 km/h font perdre 3 points. Le non-respect de règles de priorité, du feu rouge, du cédez-le-passage et l’excès de vitesse entre 40 et 50 km/h font perdre 4 points. L’alcool au volant et l’excès de vitesse de plus de 50 km/h font perdre 6 points. L’unique solution pour échapper à ces peines est de bien respecter le code de la route.

Comment circuler la nuit ?

La vision change complètement la nuit et même la notion de distance devient floue. Vous devez respecter les règles de l’éclairage. Utilisez les feux de position pour signaler votre présence aux autres automobilistes. Ils sont suffisants également sur les routes bien éclairées. Quand ce n’est pas le cas, vous pouvez utiliser les feux de croisement pour mieux éclairer la route, surtout si vous êtes en présence d’autres automobilistes. En dehors de la ville ou à la campagne, lorsqu’il n’y a pas d’autres automobilistes, vous pouvez utiliser les feux de route.

Comment circuler selon le temps qu’il fait ?

Les obstacles climatiques réduisent la visibilité sur la route. Suivant les règles du code de la route, en cas de pluie, il faut activer les essuie-glaces avant et arrière. Il faut aussi actionner également le désembuage et la ventilation et allumer les feux de croisement. Les feux de brouillard avant peuvent vous aider à voir plus clair. Il est par contre interdit d’utiliser les feux de brouillard arrière pour ne pas éblouir les autres automobilistes. Ensuite, vous devez réduire votre allure et garder une distance de sécurité plus importante que d’habitude. En cas de brouillard, vous pouvez utiliser les feux de brouillard avant et arrière, ainsi que les feux de croisement. Les feux de route sont par contre interdits. En cas de neige, il faut utiliser le dégivrage et allumer les feux de croisement et les feux antibrouillards avant et/ou arrière. S’il y a du verglas qui se forme sur la route, sachez qu’il y a des panneaux pour vous avertir. Il faut manœuvrer en douceur et rouler lentement. Vous pouvez utiliser des pneus à clous ou à crampons pour augmenter votre adhérence.

L’équipement et les documents

 
 
La veille du jour de l’examen, revoyez en détail l’équipement dont vous aurez besoin pour votre test pratique. Commencez par vérifier si votre casque se marie toujours aussi bien avec la forme de votre tête. Placez-le ensuite sur votre bureau pour pouvoir le saisir rapidement le lendemain au moment de partir pour l’examen. Vérifiez ensuite que votre tenue de motard à savoir la veste, les gants, le pantalon en cuir ou le jean et bien entendu les traditionnelles botte. Posez également le tout sur votre bureau, près de votre casque. Finalement, préparez tous les documents dont vous aurez besoin pour passer l’examen. Placez-les aussi sur votre bureau en veillant à les ranger préalablement dans un sac.
Maintenant que vous êtes prêt, utilisez votre smartphone pour noter votre heure de départ afin de ne pas être en retard. Prévoyez toujours une marge de 30 minutes pour votre heure d’arrivée sur le lieu d’examen.
 
 

Toujours y croire

 
 
Sachez qu’il est aussi nécessaire de préparer votre mental pour réussir votre examen. Avant tout, demandez-vous si vous êtes prêt à affronter ce test. Trouvez ensuite la cause de votre peur et de vos appréhensions afin de réussir à résoudre ce dilemme intérieur. Finalement, faites de votre mieux pour vous détendre avant l’examen et pour maintenir cette sérénité pendant ce dernier.
Vous voilà maintenant prêt à 100 % pour votre examen !
 
 

Que faut-il porter lors d’une course ?

Il y a d’abord le port de casque et dans ce cas, il vaut mieux privilégier le casque intégral. Il y a ensuite les gants qui ont de multiples fonctions. Les gants protègent contre le froid, les éventuelles projections de graviers et surtout l’abrasion en cas de chute.

Concernant les tenues, il ne faut pas porter n’importe quel vêtement. Le pilote doit porter un blouson et la matière est à choisir selon la saison pour assurer une bonne respiration. Il faut un blouson évolutif qui comporte des protection contre les chocs. Il doit au minimum comporter une protection dorsale pour protéger la colonne vertébrale en cas de chute.

Ensuite, on doit porter un pantalon spécial qui protège contre le froid et les chocs. Le textile doit être souple et moins lourd. Et le pantalon doit posséder des renforts au niveau des genoux et des hanches.

Des bottes montantes sont également requises pour protéger la cheville. Bref, il faut se doter de vêtements qui ont des rembourrages ou des coques de protection au niveau des parties les plus vulnérables du corps comme le dos, les épaules, les coudes, les hanches et les genoux.

Pour trouver tous ces équipements, vous pouvez aller sur des sites spécialisés comme 3AS Racing. Celui-ci est accessible sur son site web 3as-racing.com. Pour toute questoin, rendez-vous sur sa page Facebook.

Quelles matières choisir ?

Concernant ces différents vêtements, les motards faisaient longtemps référence au cuir. Actuellement, les fibres synthétiques entrent aussi en jeu pour plus d’esthétisme, de praticité, mais également de protection. Pour les coques de protection par exemple, il faut miser sur les fibres en polymère ou en carbone. Pour une meilleure résistance à l’abrasion, les fibres en polyamide résistent mieux à la déchirure et conservent bien la chaleur. Pour bien absorber les chocs, la mousse de polyuréthane et l’élastomère thermoplastique sont les plus conseillées. Comme le pilote doit porter des vêtements bien aérés avec une excellente protection thermique, les matières synthétiques à fibres creuses ou le coton en microfibre feront l’affaire.

Une excellente performance

 
 
Grâce à cette nouvelle victoire sur le circuit de Sachsenring, Marquez vient de réaliser une performance hors-norme pour un pilote aussi jeune. Il a en effet enchainé 5 victoires sur ce Grand Prix en commençant par un triomphe en moto3, deux en moto2 et 2 en MotoGP. Le point le plus surprenant dans cet exploit réside bien entendu dans le fait que marquez n’a que 22 ans !
 
 

 
 
À ce rythme, il est bien parti pour rivaliser avec le dieu de la MotoGP à savoir l’italien Valentino Rossi. Ce dernier a d’ailleurs réussi une bonne course lors du GP d’Allemagne. Certes, il n’a pas terminé au sommet du podium, mais il a réussi à se hisser suffisamment haut pour garder son avance au classement final. Marquez quant à lui maintient sa place de 4e à 65 points de Rossi.
 
Enfin, il est important de noter que Marquez a délivré une performance tout à fait impressionnante lors du GP d’Allemagne en prenant la tête de la course dès le 4e tour. Il a ensuite fait preuve d’un calme olympien afin de maintenir cette position jusqu’à la fin de la course.
 
 
 

La suite du championnat

 
 
Malgré cette victoire, Marquez ne peut plus prétendre au titre de champion. Cette année, le duel final se jouera entre Valentino Rossi et Jorge Lorenzo. Les deux hommes sont pratiquement au même niveau avec seulement 3 points d’avance pour Rossi. La lutte promet ainsi d’être rude jusqu’à la fin de la saison.
 
 

Retour sur cette course d’anthologie

 
 
Le Grand Prix d’Allemagne a commencé sous les meilleurs auspices pour Xavier Siméon. Le jeune pilote belge de 25 ans avait en effet réussi à se positionner à la 2e place sur la grille de départ. Devant lui se trouvait le leader du championnat et archi-favori de la course, le Français Johann Zarco. Le départ est alors donné et Xavier réussit à maintenir sa position avantageuse. La course va cependant se révéler légèrement plus difficile que ce qu’il avait prévu. À un moment, il passe en 3e position, derrière Morbidelli. Mais le Belge s’accroche et adopte une conduite extrêmement agressive durant les derniers tours afin de rattraper Zarco qui mène la course depuis plusieurs tours. Il réussit finalement à le doubler puis à le distancer suffisamment pour s’assurer la victoire finale.
 
 

Xavier Siméon

 
 
Xavier Siméon est âgé de 25 ans et il figure parmi les coureurs méconnus de la catégorie moto2. Sa meilleure performance remonte à l’année dernière lorsqu’il s’est hissé à la deuxième marche du podium lors du Grand Prix d’Argentine. Cette victoire constitue ainsi un moment particulier important pour le pilote qui vient définitivement d’entrer dans l’histoire.
 
 

Une manifestation problématique

 
 
Si la descente de Fécamp reste un véritable moment convivial pour les amateurs de moto, elle constitue un véritable dilemme de sécurité pour les autorités. Chaque année, l’évènement est en effet ponctué par des accidents en tout genre ainsi que par des débordements dû notamment au jeune âge des participants. Suite au scandale de l’année dernière, provoquée par des jeunes turbulents et violents, l’évènement a été fortement remis en cause. C’est ainsi que le 12 juin, après d’âpres négociations avec la commission départementale, la Fécamp Moto Team a décidé de ne pas organiser de descente cette année.
 
 

L’édition 2015

 
 
Grâce à un soutien massif sur les réseaux sociaux, l’édition 2015 a finalement eu lieu. Pour garantir la sécurité de l’évènement, la police a renforcé ses dispositifs de surveille et a imposé un contrôle permanent sur le déroulement de la descente.
Afin d’éviter les problèmes de l’année précédente, un bracelet a été distribué à chaque pilote. Selon les rapports, les fauteurs de trouble lors de l’édition précédente étaient de simples vandales qui s’étaient incrustés à la descente. Le bracelet sera distribué contre un euro qui servira à couvrir les différentes dépenses liées à l’organisation de l’évènement.
 
 

Une course d’anthologie

 
 
Le départ du Grand Prix de Milwaukee a été donné dans la nuit du dimanche 12 juillet. Au cours de cette course, Sébastien Bourdais et Helio Castroneves étaient les principaux favoris. Le premier semblait être dans son jour de chance tandis que le second avait déjà réussi une excellente saison en se classant dans le top 5 du championnat.
 
 

 
 
Après quelques heures de courses, les premiers accidents commencent à s’enchainer dans un segment du circuit. Sébastien Bourdais en profite pour assurer sa victoire. Malgré tout, il devra faire preuve d’endurance pour pouvoir terminer la course en tête. Helio Castroneves quant à lui bataille dur pour tenter de rattraper Sébastien. Au petit matin du lundi 13 juillet, la course prend fin avec la victoire de Sébastien Bourdais. Il termine les 250 tours en 1 h 56 min 46 s avec une vitesse moyenne de 209,2 km/h. Helio Castroneves de son côté arrive avec 2,23 sec de retard. Graham Rahal, Juan Pablo Montoya et Josef Newgarden complètent le top 5.
 
 
 

Du changement dans le classement

 
 
Grâce à cette 34e victoire en IndyCar, Sébastien Bourdais réussit à se hisser à la 6e place du classement. Helio Castroneves quant à lui rejoint Graham Rahal à la 3e place. Les deux hommes affichent tous les deux 370 points. Le championnat reste dominé par Juan Pablo Montoya qui cumule 439 points. La deuxième place est occupée par Scott Dixon avec points.