Lorsque vous êtes à la recherche d’une nouvelle voiture, vous avez le choix entre de nombreuses options. Vous pouvez acheter une voiture neuve chez un concessionnaire ou acheter une voiture d’occasion ailleurs. Beaucoup de gens choisissent d’acheter des voitures d’occasion parce qu’elles sont moins chères que les voitures neuves et qu’elles sont toujours accompagnées d’une garantie. Si vous envisagez d’acheter une voiture d’occasion, vous devez tenir compte de certains éléments avant de prendre votre décision. L’une des choses les plus importantes à considérer est l’endroit où vous achetez votre voiture.

Les concessionnaires peuvent gagner leur argent tout en protégeant les consommateurs

Choisir de travailler avec un revendeur vous offre la tranquillité d’esprit de savoir que vous obtenez un produit de qualité. Lorsque vous achetez une voiture chez un concessionnaire, vous pouvez être sûr que le véhicule a été correctement contrôlé et que toutes les réparations nécessaires ont été effectuées. Vous apprécierez également la sécurité de travailler avec un professionnel agréé qui est tenu par la loi d’agir dans votre meilleur intérêt. En d’autres termes, choisir de travailler avec un concessionnaire vous permet d’éviter bon nombre des risques associés à l’achat d’une voiture à un particulier. Donc, si vous recherchez le moyen le plus sûr et le plus fiable d’acheter une voiture, travailler avec un concessionnaire est la voie à suivre.

Plus de choix et plus accessible

Il est important pour un consommateur de se renseigner sur toutes les options disponibles lorsqu’il achète une voiture. Passer par un concessionnaire permet d’accéder à une offre accessible et simplifie la transaction. En effet, il est plus rapide de finaliser l’achat d’une voiture auprès d’un concessionnaire automobile que de le faire directement auprès du fabricant ou du détaillant. De plus, il est généralement plus facile de négocier les prix avec un concessionnaire qu’avec un particulier. Les concessionnaires sont également en mesure de fournir des garanties et des assurances supplémentaires, ce qui peut être un avantage pour les consommateurs.

Voiture en bon état chez les concessionnaires

Les concessionnaires ont pour mission de vendre des véhicules en bon état. Ils se chargent donc naturellement de remettre le véhicule en état avant de le revendre. Cela inclut des réparations mineures, comme les sièges qui grincent ou les pneus qui sont usés. Mais cela peut aussi inclure des travaux plus importants, comme une nouvelle peinture ou une mise au point du moteur. Les concessionnaires prennent donc le temps et les efforts nécessaires pour que le véhicule soit en parfait état avant de le mettre en vente. De cette façon, vous pouvez être sûr que la voiture que vous achetez chez un concessionnaire est en bon état et prête à rouler.

Vous pouvez profiter des facilités de paiement proposées par le concessionnaire

Un concessionnaire automobile est un détaillant agréé par un constructeur automobile pour vendre et entretenir ses véhicules. Les concessionnaires ont généralement des relations étroites avec les financeurs, ce qui leur permet de proposer des facilités de paiement pour les acheteurs potentiels. Ces arrangements peuvent inclure des plans de paiement à long terme avec des taux d’intérêt avantageux, des programmes de location-vente ou des incitations spéciales pour les acheteurs en mesure de payer cash. Les concessionnaires offrent également souvent une gamme étendue de services après-vente, tels que l’entretien et la réparation, ce qui peut rendre l’expérience d’achat plus attrayante encore. En raison de ces avantages, acheter une voiture d’un concessionnaire est généralement considéré comme la meilleure option pour les consommateurs.

Par quoi commencer ?

Sachez que restaurer une voiture de collection va nécessiter un budget considérable. Comptez entre 15.000 et 40.000 euros, somme qui comprend le prix de la voiture, les pièces de rechange, etc. Si le prix ne vous fait pas peur, alors cherchez la voiture de collection à restaurer. Demandez autour de vous ou regardez dans les petites annonces et sur Internet. Ne vous précipitez pas sur la première voiture de collection que vous voyez, prenez votre temps pour choisir. Une fois que vous avez la bonne voiture, vérifiez-la entièrement et vous pourrez commencer à la restaurer !

Ce qu’il faut pour restaurer une voiture de collection

Pour rénover une voiture de collection, il faut d’abord avoir de la passion pour ce type de voiture mais aussi pour les travaux de mécanique. En effet, une voiture âgée de quelques décennies demande beaucoup d’attention et de temps. Il vous faut un espace suffisamment large, un garage vide ou un atelier spacieux. Faites des recherches pour trouver les pièces de rechange dont vous aurez besoin. Si vous avez des outils chez vous, il serait peut-être inutile d’en acheter d’autres. Il y en a que vous pourriez emprunter et d’autres louer comme des clés, un chalumeau, un soudeur, des pinces, etc. Après, libre à vous d’y mettre votre touche personnelle ou tout simplement de lui redonner son aspect d’antan.

L’indice de viscosité

Cet indice est le premier critère que vous devez prendre en compte avant d’acheter de l’huile moteur pour votre véhicule. Cet indice est clairement visible sur les bidons d’huile qu’on retrouve sur le marché. Il est formé par des lettres et des chiffres. Il faut savoir que chaque élément de cet indice donne des indications précises sur le type d’huile. Pour le marquage, généralement, vous avez un chiffre suivi d’une lettre et ensuite, d’un autre chiffre. Le premier chiffre renseigne sur le niveau de fluidité de l’huile lorsque le moteur est à froid. Le second chiffre indique la performance de cette dernière lorsqu’elle subit une augmentation de température.

Les types d’huiles selon l’indice de viscosité

Lorsqu’une huile est de type synthétique, l’indice est généralement de type 5W30 ou 5W40. Ces huiles sont adaptées aux véhicules équipés de moteur récent et peuvent être utilisées sur du diesel ou de l’essence. Ces indices sont recommandés si le véhicule est utilisé de manière très fréquente et dans la circulation urbaine. On a aussi les huiles de type 10W40. De catégorie semi-synthétique, cette huile est adaptée aux moteurs qui font des trajets mixtes. Ce type d’huile est utile sur les petites voitures et va faciliter leur démarrage. Et enfin, il y a l’huile minérale 15W40 qui est recommandée pour les véhicules anciens âgés de 12 ans et plus. Le niveau de viscosité est assez élevé et l’huile est particulièrement épaisse pour bien lubrifier le moteur. Cependant, il faudra faire des vidanges à intervalle assez court.

La marque de l’huile

Considérer la marque de l’huile est également un critère important. Il existe de nombreuses marques d’huile qui sont disponibles sur le marché. Cependant, il est recommandé de ne choisir que les huiles fabriquées par des marques connues et qui ont prouvé l’efficacité des lubrifiants qu’elles proposent depuis des années.

Les normes appliquées

Comme de nombreuses huiles sont proposées sur le marché, certaines ne coûtent pas cher, mais ne respectent généralement pas les normes requises. Le risque c’est qu’elles peuvent détériorer votre moteur au lieu de l’entretenir. Pour éviter cela, regardez dans le dos du contenant, car généralement la norme doit y être inscrite. Elle permet de savoir si le lubrifiant est adapté à votre moteur ou non. La norme permet également de connaitre la performance de l’huile et si elle est approuvée par un constructeur de véhicule en particulier.

Un essuie-glace standard

Souvent rabaissé comme l’essuie-glace de Monsieur tout le monde, c’est un modèle très standard qui convient à toutes les utilisations. Elle est dotée d’une gomme d’une efficacité importante assurant ainsi une visibilité totale même lorsque vous conduisez sur de fortes intempéries. Cependant, pour ne pas avoir à changer trop souvent d’essuie-glace, misez sur les marques haut de gamme.
L’essuie-glace standard est doté d’un système à armature entièrement métallique, ce qui lui offre une forte robustesse et une longévité importante. Le plus souvent, c’est la lame en caoutchouc qui s’use bien avant que l’armature. C’est pour cette raison que nombreux sont les conducteurs qui ne remplacent que la lame de caoutchouc afin de réduire la dépense.

Un essuie-glace flat

Cette gamme d’essuie-glace est appréciée pour son aérodynamisme. Elle propose des prestations haut de gamme en ville comme sur les autoroutes. Vous retrouverez ce type d’essuie-glace presque sur toutes les voitures dernières générations. Actuellement, l’essuie-glace flat s’impose comme la référence en matière d’essuyage de pare-brise.
L’essuie-glace flat est très silencieux par rapport à son homologue standard. De plus, elle propose une vitesse assez rapide. Grâce à son raidisseur interne à mémoire de forme, elle assure une pression parfaite du balai pour garantir un essuyage optimal indépendamment des conditions météo.
Même si vous n’êtes pas un as en bricolage, avec l’essuie-glace flat doté d’adaptateurs prémontés, vous pouvez équiper vous-même votre véhicule de cette gamme d’essuie-glace.

Pour mieux comprendre le code de la route

Pour pouvoir prétendre à passer à l’examen de conduite, vous devez d’abord réussir l’examen de code de la route. En clair, vous devez répondre à 40 questions théoriques et il faut donner au moins 35 bonnes réponses pour passer cette première épreuve. Pour réussir, il ne s’agit pas seulement de connaître par cœur les règles en vigueur de circulation sur la route, comprendre les raisons de leur mise en place est également crucial.

En faisant appel à un service en ligne pour apprendre et réviser le code de la route, vous pourrez tout assimiler à votre rythme. Lors de l’examen, vous serez mené à analyser différentes situations axées sur plusieurs thèmes que vous pouvez apprendre facilement sur Internet. Pour ce faire, vous trouverez un service en ligne gratuit pour réviser le code de la route ici.

Pour apprendre et réviser le code de la route selon votre disponibilité

Comme l’apprentissage et la révision se passent en ligne, vous pouvez vous organiser comme vous voulez. Vous n’aurez même pas à changer votre emploi du temps habituel car les leçons de code de la route sont accessibles à tout moment et en tout lieu. Que ce soit lors d’une pause au travail, au lycée ou à l’université, le soir en rentrant à la maison, le weekend, etc., c’est à vous de choisir les jours et les heures pour enrichir vos connaissances du code de la route français.

Pour faire des économies

En apprenant et en révisant le code de la route sur la toile, vous économiserez du temps mais aussi de l’argent. Certaines plateformes proposent un accompagnement personnalisé sur demande. Ce service reste plus abordable que les cours classiques. Pourtant, vous pouvez poser toutes les questions qui vous taraudent sur le sujet et un professionnel vous répondra de façon claire et pédagogique. Par ailleurs, de nombreux sites spécialisés proposent gratuitement les leçons. Dans tous les cas, faire appel à un service en ligne pour apprendre ou pour réviser le code de la route reste économique.

Chez un professionnel ou un particulier ?

Concernant le vendeur d’occasions à solliciter, plusieurs possibilités s’offrent à vous. Mais en termes de fiabilité, optez pour les professionnels. Vous avez le choix entre : le concessionnaire, les mandataires, les garagistes indépendants et les spécialistes en vente d’occasion. L’avantage avec les professionnels est d’avoir une garantie mécanique entre 3 mois et 3 ans. En cas de problèmes, vous pouvez faire usage de la garantie. Il est parfois impossible de discuter du prix chez les professionnels. Néanmoins, les voitures d’occasion ont subi une révision et ont été nettoyées.

En optant pour une voiture d’occasion auprès d’un particulier, vous pourrez négocier le prix. Les modèles de voitures proposés par les particuliers sont aussi très variés. Toutefois, en plus de l’absence de garantie, les risques d’arnaque y sont élevés.

Les problèmes sont parfois les mêmes pour l’achat de voitures d’occasion dans les ventes aux enchères ou dans les ventes sur parking.

Vérifier l’état de la voiture

Un modèle de voiture occasionvoiture d’occasion vous tente ? Commencez par un essai routier pour vous rendre compte de sa prise en main et de son état. Ainsi, essayez-la à faible allure, puis à vive allure ou vice versa. Ensuite, prenez soin de conduire la voiture sur tous types de routes. Ainsi, vous pouvez prendre l’autoroute, des routes sinueuses, routes en pente pour une remontée et une descente. Prendre la route toute fenêtre ouverte vous permet d’identifier d’éventuels bruits anormaux. En fermant la fenêtre, vous pourrez juger de l’isolation et de tenir compte des bruits venant de l’intérieur.

Quant à l’état général de la voiture, faites des vérifications à l’arrêt. C’est-à-dire tester toutes les commandes électriques ainsi que tout ce que vous n’avez pas eu l’occasion de vérifier pendant l’essai routier. Vérifiez l’état des jointures (étanchéité), l’ouverture des portières, du coffre et du capot.

Choisir le bon équipement pour les suspensions de votre moto

La raideur constitue un paramètre important sur les suspensions d’une moto. Cette valeur est indiquée en kilogramme par millimètre ou kg/mm. Chaque moto a sa propre raideur idéale. Pour davantage contrôler la bonne suspension, il faut mesurer le débattement de l’amortisseur avec les roues en l’air (F1) et une fois posé sur le sol (F2). Appelée course morte, cette différence devrait figurer entre 15 et 35 millimètres pour la fourche. En ce qui concerne l’amortisseur arrière, la formule F1-F2 varie entre 5 et 10 millimètres. Il faut accorder une importance à la course-morte de l’amortisseur et de la fourche. Pour la régler, il faut resserrer ou libérer la vis sur la précharge. Ce réglage se trouve en haut de la suspension.

Maîtriser les différentes valeurs de la suspension

La précontrainte est le montage d’origine de la moto. Elle permet de garder la selle à une bonne hauteur et peut également se régler. La compression constitue un autre paramètre à modifier selon le mode de conduite. Elle correspond à la vitesse à laquelle la fourche ou l’amortisseur s’enfonce. Il est important d’avoir les suspensions avant et arrière qui agissent de manière coordonnée. Si l’avant de la moto tend à réagir plus rapidement. Un système de réglage en haut de la fourche permet de régler ce problème. Il s’agit d’un dispositif à visser. Certaines motos ont même des clics pour un réglage précis. Il faut 24 clics pour une suspension avant optimale. Pour l’arrière, une vis au niveau de l’amortisseur permet de garder un bon réflexe.

On ne peut pas prétendre à l’accès à un permis de conduire si on n’apprend pas. Par ailleurs, la conduite ou le pilotage de voiture est validé par un examen et la possession d’un permis de conduire. Il est donc, important d’apprendre et cela demande quelques démarches à suivre.

L’apprentissage à travers une auto-école

Certes, le passage dans une auto-école pour avoir son permis de conduire n’est pas obligatoire. Cependant, il est conseillé. Cela, parce que c’est une structure qui a les compétences techniques et pédagogiques, mais aussi, la sécurité et l’assurance adéquate pour vous permettre de passer correctement votre examen de conduite et d’avoir une bonne base. Par ailleurs, dans ces lieux, les professionnels sont aguerris et vous forment à la fois en théorie, sur les codes de la route, et en pratique, concernant la méthode et les principes de la conduite. Mais avant de rejoindre une auto-école, il est essentiel de choisir sa catégorie. La première est l’accès à un permis auto simple, et la seconde, à un permis pour piloter un poids lourd.

Les différentes formes d’apprentissage

Il est possible de choisir entre 4 formules quand on rejoint une auto-école. La première étant l’apprentissage basique. C’est la forme la plus classique qui va permettre au futur conducteur de suivre des cours théoriques et pratiques étalés sur plusieurs mois pour ensuite, faire un examen pour avoir un permis de conduire. On a aussi l’apprentissage accompagné qui vise l’obtention du permis B. Ce type d’apprentissage peut être acquis dès 16 ans, mais il faudra que le conducteur se fasse accompagner par un adulte après des cours théoriques de base dans une auto-école. Il y a aussi la conduite supervisée qui a le même principe, mais qui concerne les personnes adultes qui ont envie de renforcer leurs compétences en vue de l’obtention du permis de conduire. Enfin, la conduite accélérée permet d’augmenter le volume d’heure d’apprentissage pour l’obtention d’un permis. Dans ce cas, la durée de la formation peut se faire en quelques semaines au lieu d’un échelonnement sur plusieurs mois. Il est accessible pour toutes personnes qui veut avoir un permis quelle que soit la catégorie visée.

La conduite supervisée est un pilotage différent de la conduite accompagnée. En effet, si la seconde concerne surtout les personnes de moins de 18 ans, ce n’est pas le cas avec la conduite supervisée. Elle cible les individus qui n’ont pas passé le test de permis de conduire ou les personnes qui ont envie de renforcer leur compétence dans la conduite de voiture ou le pilotage d’un véhicule de course.

Définition et cible de ce type d’apprentissage

La conduite supervisée est un système qui permet d’apprendre à conduire ou à piloter une voiture. C’est une étape qui pousse un individu à augmenter ses compétences et à avoir plus d’expériences. Ce type d’apprentissage cible surtout les personnes qui ne veulent plus refaire les cours théorique dans une auto-école, mais ont envie de renforcer leurs expériences avant de passer le contrôle de conduite et avoir un permis de conduire. Ce système est également idéal pour les personnes qui ont envie de s’exercer si elles n’ont pas pu passer l’examen de conduite. En d’autres termes, il permet de ne pas perdre la main et de se préparer au prochain examen. Ainsi, c’est un système d’apprentissage qui concerne strictement les personnes qui sont en âge de conduire seules, c’est-à-dire, les individus de plus de 18 ans. Il est possible dans ce cas, de s’inscrire seulement sur ce type d’apprentissage au sein d’une auto-école ou de le faire de manière informelle. Cependant, dans les 2 cas, il est essentiel que l’accompagnateur qui dispose d’un permis B et qu’il ait un minimum de 5 ans d’expériences effectives. En plus de cela, ce dernier doit être clean vis-à-vis du code de la route et disposer de l’accord d’une compagnie d’assurance pour être un accompagnateur.

Pourquoi ce type d’apprentissage est-il bénéfique ?

Ce système présente plusieurs avantages. Dans un premier temps, c’est un moyen qui permet au conducteur novice de monter en compétence et d’avoir de l’expérience avant de passer à nouveau son examen de permis de conduire. Il sera dans ce cas, plus sûr de lui. Deuxièmement, contrairement à un cours classique en auto-école, cet apprentissage revient moins cher. Toutefois, comme sur un cours basique, le conducteur devra toujours avoir un peu d’apprentissage théorique avec son accompagnateur pour éviter les erreurs. Il en sera de même durant le trajet de conduite à faire et après chaque exercice.

Afin d’assurer la sécurité des voyageurs et des passants, il est essentiel d’avoir un véhicule en bon état. De ce fait, la voiture doit subir une vérification de manière périodique en recourant à un technicien qui va contrôler 124 points permettant de repérer les éventuelles anomalies.

Le rôle du contrôle technique

Le contrôle technique est exigé par la loi, stipulé dans le code de la route. Il permet entre autre, de voir les anomalies présentes sur un véhicule et doit se faire dans un centre spécialisé. Parmi les points de contrôle à vérifier, il y a le système de freinage. On doit aussi avoir un équipement de direction bien fluide et sans souci, ainsi qu’un visibilité très nette. Le contrôleur procèdera également à la vérification du système d’éclairage et de la qualité de la carrosserie. Ce sont les essentiels en plus des détails sur le niveau de CO² émis, et tous les éléments mécaniques du véhicule. Ces vérifications sont importantes pour assurer la fiabilité du véhicule et voir qu’il ne présente aucun danger pour les voyageurs, le conducteur et les piétons ou autres automobilistes. De ce contrôle, le technicien fera un procès verbal dont le résultat peut être négatif ou positif. Dans le cas où le technicien serait favorable sur le bon état du véhicule, il apposera une vignette de conformité sur le pare-brise. Autrement, il mentionnera une date de contre-visite sur le certificat d’immatriculation et donc, une nouvelle vérification avant l’octroie d’une vignette.

la procédure de contre visite

Si un véhicule est sujet à des anomalies, les centres techniques donnent 2 mois au propriétaire pour effectuer les réparations. Au-delà de cette période, le propriétaire sera obligé de refaire en entier le contrôle technique et peut même être sanctionné d’une amende. Par ailleurs, durant la contre-visite, le contrôle ne se fera que sur les points mentionnés défaillants durant la visite initiale. En cas de succès, la vignette de contrôle réussi sera marquée sur le pare-brise du véhicule, autrement, il aura une nouvelle date de vérification.